dimanche 22 avril 2012

Consommation Collaborative : la "nouvelle économie" ?

Consommation Collaborative : la "nouvelle économie" ?



A la veille des présidentielles, de nombreuses questions se posent. Parmi ces questions, le thème de l’avenir de l’économie est récurrent. Chaque candidat fait ses analyses, fait ressortir les problèmes mais pour enfin proposer des solutions concrètes et réalistes, la plupart manquent à l’appel.

Peut-on véritablement influer sur l’économie mondiale ? Peut-on proposer des solutions viables afin que chacun y trouve son compte ? 

Peut-être que la réponse à ces questions ne peut venir des politiques. Nous voyons aujourd’hui les limites de la politique sur l’économie. Alors, cherchons la réponse ailleurs, et pourquoi pas la chercher chez les consommateurs eux-mêmes.

Le monde évolue, la technologie d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celle d’hier. Pourquoi ne pas profiter de ces innovations pour faire évoluer notre consommation ?

Quelques millions d’individus à travers le monde ont déjà fait le premier pas et profitent aujourd’hui de tout ce que peut apporter le web 2.0 avec son interactivité quasi sans limite. L’idée aujourd’hui s’appuie sur le partage. Un partage infini et sans barrière appelé Consommation Collaborative.

Le principe est simple et ceux qui le découvrent aujourd’hui se demandent souvent pourquoi cela n’a pas été développé depuis longtemps. Imaginez multiplier toutes vos propriétés par le nombre d’individus de la communauté des consommateurs collaboratifs.

Ainsi, échangez à volonté vos sacs à mains, vos lunettes de soleils, vos robes de mariages et pourquoi pas même votre voiture ou votre appartement. Bref des milliers de possibilité s’offrent à vous grâce au web 2.0. Alors ? Prêt à franchir le cap ?


Dans un prochain article je vous présenterai des concepts de sites qui valent le détour. D’ici là, pourquoi ne pas jeter un coup d’Å“il ici, ça vous donnera surement quelques idées :
http://consocollaborative.com/1704-100-sites-de-consommation-collaborative.html


Ariel A.


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